La formidable histoire de la population française (depuis 1945)

Comments

[Louloute60]

C'es dommage d epublier cet article sur internet à la vue de tout le monde (des jeunes enfants qui font des recherches sur l'histoire et qui tombent sur ce site c'est à laisser passer tout de même)
On peut remarquer que la copie est une copie d'examen reconnaissable au carré en haut à droite, le personne devait être en âge de passer des examens!!
Mon dieu, bon courage pour les correcteurs !!!!

[Dweia]

c'est mignon comme histoire...
nan c'est désolant

[etienne w]

mon professeur d'histoire en faculté de droit nous sortait les perles.. pape Innocent III devenait papino 103, ap. JC apreès Jean CLaude.
Professeur de science éco nous sortait des copies à 248 fautes par pages... moyenne de l'amphi 4.
une catastrophe quand il s'agissait de simple additions et soustractions.

[passant]

Louve :
Lamentable. "Le temps est mauvais, cassons les baromêtres et emprisonnons les fabricants. (car après tout ils devraient aider à modifier les perceptions collectives sur le climat plutôt que de dire 'il fait un temps de merde')"

[boudi]

Je vous plains. Sinc_rement. J'ai quitté le secondaire il y a peu et à imaginer le quotidien des professeurs rétrospectivement je me dis quel chaos à devoir ponderer les notes par rapport à une sorte de moyenne arithmétique pour acheter la paix sociale et ne pas passer pour le connard qui saque. Je me dis que nous sommes souvent injustes avec les profs, mais qu'il faut avouer que beaucoup sont médiocres, ou las, à peine rompus au maniement de tout l'arsenal dont ils peuvent disposer. Je ne sais pas, mais je vois toujours cette barrière étanche non pas entre l'élève et le professeur parce que celle ci est saine, mais entre le savoir et sa transmission. Il y a une écluse rouillée, un désintérêt croissant, et je ne crois pas qu'on puisse l'imputer tout à fait à l'époque comme certains professeurs s'occultant toute responsabilité aime à faire, ni comme font tous les élèves la prêter à l'incapacité du professeur.


Là, stupeur. Je lis les commentaires. Je pensais que vous enseigniez au collège, j'imaginais une copie naïve d'un adolescent de quinze ans.
Ah. Pauvre, vous.